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Quelles langues parle-t-on aux Galápagos ?

Guide de voyage

Langue officielle : Castillan 13 dialectes différents Anglais principalement utilisé dans les structures de tourisme

L’Équateur, situé à mille kilomètres des Galápagos, a annexé les îles en 1832. À l'image du patrimoine multiculturel du continent, qui compte environ une vingtaine de langues et de dialectes différents propres à ses nombreuses tribus, les îles Galápagos sont un melting pot de langues internationales et de dialectes indigènes.

 

Quels dialectes retrouve-t-on sur l’archipel des Galápagos ?

 

Parmi les 13 différents dialectes que l’on peut rencontrer en Équateur, le kichwa et le shuar sont les deux variantes amérindiennes principales que l’on retrouve sur l’archipel des Galápagos.

Le kichwa est une variante du quechua, dialecte tenant ses origines du Pérou. Ce dialecte se distingue du quechua péruvien notamment par l’ajout de suffixes en fin de noms pour indiquer leur fonction ainsi que par le caractère invariable de ses ...

adjectifs. L’alphabet kichwa ne comprend que 18 lettres, 15 consonnes et 3 voyelles, et ce dialecte est principalement pratiqué par les peuples amérindiens d’Équateur et d’Amérique du Sud.

Le shuar fait partie des langues jivaro, une famille de langues amérindiennes d’Amérique du Sud. Son alphabet ne comporte qu’une dizaine de lettres et il est principalement utilisé par les Shuars, répartis entre l’Équateur et le Pérou.

 

Comment se faire comprendre sur l'archipel des Galápagos ?

 

La langue maternelle officielle, maîtrisée par près de 80 % de la population des îles Galápagos, est l’espagnol. L’espagnol équatorien est le plus simple à comprendre : il est clair et précis, similaire à l’espagnol du Mexique et d’Amérique centrale. Avec quelques notions d’espagnol et un dictionnaire de poche, vous pourrez communiquer avec les populations locales dans leur langue maternelle !

L'anglais est principalement utilisé dans les structures de tourisme, dans les villes de Santa Cruz ou San Cristobal, mais la plupart des Équatoriens ne le parlent que très peu.

Bien que la barrière de la langue soit un frein pour de nombreux voyageurs, un guide francophone est présent lors de tous les circuits proposés par Double Sens afin de pallier cet obstacle, communiquer de manière fluide, nouer des liens et partager les coutumes des populations locales.