Fin novembre 2018, un groupe du CE Capgemini s’est envolé pour un voyage de 12 jours au Népal. Le Népal, destination fantastique et envoûtante par sa grande richesse culturelle, son impressionnante faune et ses paysages uniques jonchés de jungles et de montagnes...

Sur place, les voyageurs ont vécu quelques jours dans une communauté locale vivant à l’orée de la jungle de Bardia. Là bas, les villageois se sont fixés comme objectif de réconcilier les habitants avec les animaux sauvages. Il est effectivement commun de voir un éléphant dévaster les rizières ou un léopard attaquer le bétail… Une vraie problématique pour cette communauté qui vit de l’agriculture ! Avec le soutien des villageois et avec l’aide d’un chef de chantier, ce joyeux groupe s’est donc attelé à la construction d’un enclos anti-prédateurs. Grâce à cette immersion totale, ce groupe a vécu une expérience riche de sens et d’émotions qui a permis de tisser des liens forts avec les Népalais qui les ont accueillis !

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De retour en France, les voyageurs ont répondu à nos questions. Ingrid, Maxime, Sébastien, Thibaud et Florent nous ont fait part de leurs ressentis et souvenirs sur leur séjour passé à l'autre bout du monde...



Qu’est-ce qui vous a attiré vers le concept de voyage proposé par Double Sens ?

Florent : J’ai apprécié la combinaison entre activité touristique et geste en direction d’une population locale…

Ingrid : Je suis très peu fan des voyages organisés traditionnels en groupe... Mais à la première lecture de ce séjour proposé au Népal, j’ai rapidement été interpellée par le programme aux activités variées avec un bon équilibre entre les visites culturelles, la découverte de la faune et de la flore et la proximité avec la population locale. Un programme original pour le Népal qui est généralement connu pour ses treks !

Thibaud : L’association entre la découverte culturelle et touristique du pays et le fait de pouvoir vivre de la même manière que les Népalais pendant quelques jours.



Qu’avez-vous pensé de l’action solidaire menée sur place ?

Thibaud : Protéger les élevages est une des priorités des villageois. Le fait de construire des abris en réutilisant des ressources qui ne servaient plus, tout en impliquant les habitants à ce projet, donne un aspect important à ces constructions.

Ingrid : Le besoin de protéger les chèvres des léopards est réel et les familles identifiées étaient réellement satisfaites de leurs enclos. C’est pourquoi j’espère avoir pu contribuer au maintien d’une bonne cohabitation entre les animaux sauvages et la population locale ainsi qu’à l’impact sur la vie économique grâce aux financements de l’hébergement dans les familles, les guides, les chauffeurs, le chef de chantier, la fourniture des tôles, des vis et pointes.

Maxime : Il semblait réellement nécessaire pour les familles de construire ces enclos anti-prédateurs, notamment pour une des familles dont le père dormait dehors à côté de l’ancien enclos des chèvres pour les protéger. De plus, la joie non dissimulée d’une des habitantes après la construction de son enclos faisait très plaisir à voir.



Comment avez-vous vécu votre séjour avec le groupe ?

Ingrid : La taille du groupe était parfaite. Il y avait une bonne cohésion, des valeurs communes et partagées, des bonnes rigolades… que du bonheur !

Pour vous, quels ont été les moments forts du séjour ?

Sébastien : Le partage humain de cette aventure restera pour moi le meilleur des souvenirs. Nous avons pu jouer au foot avec les enfants du village, cela peut paraître anodin, mais pourtant, ce fut un des moments les plus forts, par sa simplicité et par l’émotion que peut apporter un sport à un groupe d’êtres humains venant de toutes les cultures possibles.

Thibaud : Notre safari à pied pour suivre les traces et s’approcher au plus près d’un rhinocéros et la course à travers la jungle pour voir les éléphants.

Ingrid : La visite de l’école le soir de notre arrivée et la rapide balle aux prisonniers avec les enfants dans la cour avec une chaussure en guise de balle ! Puis notre dernière soirée au village. Un moment riche en échanges grâce à la musique, les chants et la danse... des valeurs qui rassemblent tous les peuples et brisent la barrière de la langue.

Maxime : Ce moment en rafting où nous sommes tombés nez à nez avec de nombreux cervidés qui se rafraîchissaient dans la rivière. Puis 100 mètres plus loin, avec un rhinocéros qui faisait de même !

Ingrid : Un autre moment fort fut le trajet en bus pour rejoindre la forêt de Bardia. Le voyage n’aurait pas été le même sans cette traversée en bus. C’était une nuit inoubliable passée au rythme de la musique Bollywood. Cela a permis de vivre dans les mêmes conditions de déplacement que les Népalais. À conserver dans le programme bien sûr !



Qu’avez-vous retenu du mode de vie à la népalaise ?

Ingrid : Ce voyage était une bonne leçon de vie… S’adapter aux évènements et situations imprévues tout en relativisant ; adopter cet état de zénitude des Népalais au volant ; s’imprégner de l’instant présent en perdant la notion du temps qui passe ; partager sans rien attendre en retour. D’ailleurs le mot « merci » en népalais n’existe pas, un sourire suffit !

Quelques jours après votre retour, quel est votre ressenti ?

Ingrid : Superbe voyage inoubliable, riche d’expériences variées et de rencontres. Une expérience à partager et à renouveler sans aucune hésitation…

Sébastien : Ce fut une expérience unique grâce au partage humain, à la simplicité des choses, à la force de la nature, à la différence culturelle et aux paysages à couper le souffle. Merci à Double Sens de m’avoir permis de vivre cela. J’espère pouvoir un jour me relancer dans une aventure comme celle-ci. Un simple mot suffirait : MERCI !

Séduit(e)s par leur témoignage ? Sautez le pas du voyage solidaire au Népal !

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Publié par Pauline Jaunet